L’immigration clandestine des jeunes africains est un phénomène complexe et préoccupant qui a été observé dans de nombreuses régions du monde. De nombreux jeunes entreprennent des voyages périlleux et clandestins vers l’Europe ou en Amérique, fuyant la pauvreté, les conflits, la discrimination, ou la recherche de meilleures opportunités économiques et éducatives. Plus qu’une immigration, on assiste à un suicide collectif de milliers de jeunes issus de l’Afrique subsaharienne fuyant leurs terres natales.
Ces pauvres gens, ces clandestins qui, au péril de leur vie traversent les eaux glacées de la Méditerranée. Ce qui est frappant, c’est que ni la mort, ni la peur de l’océan ou du désert, ni les difficultés rencontrées ne découragent les clandestins. Ils ont perdu l’espoir, ils préfèrent mourir plutôt que de rester dans leur pays. En provenance de plusieurs pays comme le Sénégal, le Mali, le Burkina Faso, le Soudan, la Guinée ou la Côte d’Ivoire, ces jeunes immigrés clandestins rencontrent souvent de nombreux défis et risques lors de leur voyage vers d’autres pays. Ces voyages sont souvent très risqués et peuvent impliquer des voyages dangereux à travers le désert, des traversées en bateau sur des eaux tumultueuses, ainsi que des parcours terrestres qui exposent les migrants à des conditions précaires, des abus, voire des trafics humains. Une fois arrivés dans les pays de destination, ces migrants peuvent se retrouver en situation irrégulière, sans papiers, ni statut légal. Cela les expose à la vulnérabilité, à l’exploitation économique, sociale et parfois même à la détention et à l’expulsion. Bon nombre d’entre eux sont tués. C’est triste de voir cela la haine des autres, la xénophobie, le racisme, la politique extrême à l’état pur.
Les causes profondes de la migration clandestine sont souvent liées à des problèmes socio-économiques, tels que la pauvreté, le chômage, les inégalités, les crises politiques sans fin rendent des conditions de vie précaires et insoutenables, les conflits armés. Tous ces facteurs ne peuvent qu’inciter les jeunes à quitter leurs pays d’origine à la recherche d’une «Terre promise ». Il faut aussi souligner que les présidents subsahariens sont en partie responsables de l’immigration. Ils s’enrichissent au détriment de leur peuple. Ils sont là pour mener la belle vie avec des trains de vie faramineux alors que leurs compatriotes meurent dans les océans. Les migrants risquent leur vie et pire, la vie de leurs enfants pour des illusions et des rêves qui ne se réaliseront jamais parce que l’Europe n’est plus l’Eldorado.
La question de l’immigration clandestine des migrants soulève des préoccupations humanitaires et de droits de l’homme. Elle a un impact sur les politiques d’immigration et les relations internationales, car elle met en évidence la nécessité de trouver des solutions qui tiennent compte des besoins de protection des migrants tout en garantissant la sécurité et la stabilité des pays d’accueil.
Voici quelques mesures et stratégies qui peuvent être mises en place pour lutter contre l’immigration clandestine : • Améliorer les conditions économiques et sociales dans les pays d’origine ; • Éduquer et sensibiliser ;
• Promouvoir la stabilité politique ;
• Renforcer la sécurité des frontières ;
• Promouvoir des voies légales d’immigration ;
• Lutter contre les réseaux de trafic humain ;
• Offrir une aide humanitaire aux migrants ;
• Mettre en place des politiques d’immigration et d’asile ;
• Renforcer la coopération internationale.
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